Leonard Lamb

Il est des artistes dont l'œuvre semble venir d'ailleurs.

Marion, aussi connue sous le nom de Leonard Lamb, peignait en rêvant.

En juillet 2019, elle a quitté ce monde, emportant avec elle un univers d’une rare intensité, fait de papier, d’encre, de cris et de lumières et d'ombres.

Voici une chanson pour la raconter.



Leonard Lamb
emotional, ambient, guitar acoustic, harmonies, cinematic
À l'abri du monde, dans l'ombre et l'éclat,
Marion tissait des songes d'encre et d'apparats.
Lentement, patiemment, dentelière du temps,
Elle peignait l'errance et l'or du tourment.

Masques et costumes, marionnettes d’exil,
Entre mythe et mémoire, испуг sur le fil.
elle brodait l’écho, elle sculptait le vide.
Au fil du temps, Leonard prenait vie.

Leonard Lamb, au seuil du mystère,
Tant d'univers tissés de lumière.
Anges et monstres dansent sous ta main,
Et ton silence murmure sans fin.

D'un trait incisé, net comme un serment,
Elle fixait la grâce et l'écho du sang.
Dans ses fresques d'ombres, brûlait la douleur,
Un cri d'enfant pris dans la splendeur.

Dans l’encre fiévreuse d’un cahier sans fin,
Elle traçait l’ombre d’un Dieu incertain.
Mots en éclats, cris du cœur éphémères,
Noirs écriteaux sur des pages de lumière.

Aujourd'hui ses toiles veillent sous le vent,
Telle des astres, suspendus hors du temps.
Et si l'on écoute, entre l'or et l'oubli,
C'est Leonard Lamb qui nous parle d'infini.

Leonard Lamb, au seuil du mystère,
Tant d'univers tissés de lumière.
Anges et monstres dansent sous ta main,
Et ton silence murmure sans fin.